Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

25/03/2013

Tiborg connait la recette des tubes et de l'amour

Tiborg_IfUWannaBeLoved_cover.jpg

Allez allez, on lève la main bien haut et on se trémousse : if U wanna be loved est une découverte majeur de l'électro française qui devrait bien s'exporter.

Son auteur, Tiborg, est un jeune producteur français que l'on avait repéré sur des remixs dont La Roux et Christophe Wilhem.

Facebook

14/03/2013

Dom la Nena a vu l'ange Gabriel !

Dominique Pinto, jeune violoncelliste brésilienne de 23 ans vivant à Paris, a accompagné pas mal de grands avant de se lancer dans son projet solo. Parmi eux, Jane Birkin, Etienne Daho,Camille, Piers Faccini… C'est d'ailleurs avec ce dernier qu'elle a décidé de se lancer dans son premier ouvrage, premier album... première réussite

affiche dom.jpg

08/03/2013

French Cancan, à voir au Palace !

Places prises, nounou bookée, nous voilà prêts pour French Cancan au mythique Palace, dès le 19 mars 2013.

« French Cancan » réunit des danseurs, interprètes et créateurs ayant en commun l’amour du cabaret et le refus des clivages. Chacun dans sa spécialité a su tisser des liens entre les styles et les disciplines pour former une famille talentueuse et bigarrée.

Le metteur en scène Jacques Duparc a mis ses vingt-cinq ans d’expérience dans le monde du lyrique et de la comédie musicale, pour une création inspirée, sublimée par les chorégraphies endiablées de Marie Valton qui nous livre sa vision du cancan : une ode à la féminité. Tout au long du spectacle, cinq chanteurs se donnent la réplique, dont la soprane Claudia Mauro, passionnée de cabaret, naviguant de Kurt Weill à Offenbach, la pétillante Prisca Demarez récemment vue dans Avenue Q et le séduisant Régis Mengus dont les débuts à l’opéra de Metz l’ont conduit à embrasser une carrière à la croisée des genres.

Réservations

frenchcancan.jpg

27/02/2013

On soutient Bill Deraime et son blues engagé !

BILL DERAIME .jpg

On ne peut qu’adhérer au message engagé de son dernier album, qui le caractérise tellement lorsqu’on entend cette voix blues si puissante capable d’exprimer toutes les émotions humaines.

En grand barroudeur, il l’a d’ailleurs transportée et enrichie au fil de ses pérégrinations et de ses rencontres. Né en 1947 dans l’Oise, Bill Deraime a en effet été très vite happé par la musique noire américaine et a tout d’abord "joué collectif" en fondant en 1968 le groupe Wandering avec lequel il s’est d’ailleurs produit aux Etats-Unis. Puis en 1969, avec la bande de musiciens qu’il fréquente, il créé le TMS Folk Center, dans un contexte marqué par la mode hippie et par l’esprit routard. En 1979, Bill décide de chanter en français et se lance dans une carrière solo. Il est alors inspiré par le reggae jamaïcain. Le succès vient avec son troisième album "Qu’est-ce que tu vas faire" où il interprète le fameux "Babylone tu déconnes".

Cette chanson sera une base à partir de laquelle Bill va construire tout ce qu’il écrira ensuite : mettre l’homme au centre de tout, donner la parole aux exclus, les plus pauvres et oubliés de notre société et transmettre l’espérance en exprimant volontiers ses convictions chrétiennes

 

Bill Deraime sait qu’il ne sera jamais la star qu’il aurait dû être s’il avait fait confiance au système. Il préfère se battre avec le collectif Les Morts de la rue créé par le père Patrick Giros, devenir oblat de l’ordre bénédictin, ne pas s’attarder aux tentations de la gloriole médiatique.

« L’important, c’est la rencontre », dit-il. Justement, après une rencontre sur une scène de concert, il a eu plaisir à inviter Sanseverino et ses musiciens sur le délirant Bobo Boogie. Et il n’aurait pas fait cet album sans quelques rencontres importantes, comme celle de l’organiste Jean Roussel (Soran). Un personnage… Arrangeur sur No Woman No Cry de Bob Marley, clavier sur la majeure partie des disques de Cat Stevens ou chez Serge Gainsbourg, Police, Ron Wood ou Julien Clerc, ce Mauricien à la barbe fournie ne conçoit pas la musique en requin de studio.

Tout l’album s’est enregistré avec lui et le groupe de scène de Bill. Du blues pour la colère, du reggae pour la révolution, des chansons qui ont déjà fait leur chemin et d’autres toutes neuves… « Un album d’espérance mystique, dit-il. Je suis chrétien mais un athée, un musulman ou un bouddhiste peuvent s’y retrouver. Il y a une vraie unité dans l’amour et la miséricorde. »

 

 

Nouvel album Après Demain

Sortie le 26 mars

Concert à l’Alhambra le 12 juin 2013

site officiel

billderaime2.jpg

21/02/2013

Paganella, bingo rock

Bien sympa cette découverte rock qui donne la pêche !

PAGANELLAbingo.jpg

12/02/2013

Mummenschanz, rire pour toute la famille !

Voilà une sortie en famille à organiser du 21 au 26 mai au Casino de Paris, vous ne le regretterez pas car les Mummenschanz mérite leur réputation de drôlerie et de beauté plastique.

Tuyaux, ballons, coussins, avez-vous donc une âme ? Oui, si à l’intérieur de vous se trouve un Mummenschanz. Il y a près de quarante ans, deux Suisses et une Italo-américaine inventaient un genre à part entière : mélange de mime, de théâtre d’objets, de marionnettes géantes. Une suite de numéros émouvants et burlesques où jamais une parole n’est dite, où l’on entend nulle autre musique que les froissements, crissements et murmures des matériaux.

MUMMENSCHANZ - PHOTO 6.jpg

 

Partout où cette troupe de théâtre unique au monde se produit, elle remporte un immense succès. «Dès le levé du rideau par deux mains géantes, nous recevons une tempête d’applaudissements et les premiers rires», remarque Floriana Frassetto. Les médias partagent les réactions positives du public. «De l’art vivant» est proposé, «ce théâtre d’élite» resté jusqu’à ce jour hors du commun. Dernièrement un critique américain cite : «Qui a dit que l’art ne pouvait pas devenir vivant ?»

 


Du 21 au 26 mai 2013 au Casino de Paris

www.casinodeparis.fr

MUMMENSCHANZ _ VISUEL .jpg