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22/05/2013

Andy Warhol ressuscité dans le clip de Tristesse Contemporaine

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Composé de trois apatrides installés à Paris, la Japonaise Narumi, le Suédois Leo Hellden (déjà aperçu chez Aswefall) et l’Anglais Maik (ex-Earthling), Tristesse Contemporaine a trouvé asile chez les infatigables têtes chercheuses du collectif et label parisien Dirty. Ils reviennent aujourd’hui avec un nouvel EP, “Woodwork” (du nom du 3e titre de l’EP). Ils ont par ailleurs mis “Waiting” en images : on y voit le père du pop art dégustant un Burger King. Des images tirées d’un documentaire de 1982, 66 scenes from America, réalisé par Jørgen Lethpour.

 

Le Woodwork E.P. est l’acte deux de l’histoire de Tristesse Contemporaine. Un nouveau label, Record Makers (en partenariat avec sa maison d’origine Dirty) et l’affirmation en quatre titres (dont trois inédits) de ce qui constitue son ADN :

Waiting : obsessionnel, hanté, élégiaque, soit l’art de faire danser les morts vivants.

Vampires : à l’ombre des géants de la new wave, une prière minimaliste pour chasser les fantômes.

Woodwork : solaire et languide, l’éloge de la patience selon Tristesse Contemporaine.

Low Tide : retour sur le dancefloor pour une comptine perverse sous stupéfiant. Higher than the sun.

A l’orée du club, Tristesse Contemporaine nous attend désormais au tournant (un nouvel album est annoncé pour septembre) : personne ne sortira d’ici vivant...

 

http://www.recordmakers.com

16/05/2013

Des baisers sucrés pour Pendentif !

 

Après l’escapade radieuse de Jerricane, Pendentif nous plonge dans une ambiance sensuelle à l’imagerie fruitée suggestive. Atmosphère tamisée et douce invitation au désir, c’est dans une esthétique très nineties d’un beau songe d’une nuit d’été que Pendentif nous révèle aujourd’hui le côté le plus sexy de sa pop lumineuse

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Prussian Blue, belle revue exigeante sur l'art

FASHION SHOOTING BY GUILLAUME DE SARDES from candid & young on Vimeo.

 

Aussi belle qu'intéressante, forcément destinée à un petit nombre, voici le quatrième numéro de la revue Prussian Blue.

Conformément à sa vocation qui est d’être un espace de création, Prussian blue présente dans ce numéro de printemps trois séries photographiques inédites : celle d’Antoine d’Agata (membre de la mythique agence Magnum), dont le travail d’inspiration bataillienne sur la sexualité et l’exploration des limites est internationalement reconnu.

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Cette série réalisée au Brésil est accompagnée de notes prises par le photographe lors de ce voyage ; celles de Nicolas Comment et de Guillaume de Sardes qui pour l’occasion ont travaillé avec de jeunes comédiennes. Pour « Picture window », Nicolas Comment a photographié Barbara Opsomer. Pour « La Chambre close » Guillaume de Sardes a collaboré avec Regina Demina et le musicien et perfomeur Richard Blondel. La réalisation de ces deux séries a donné lieu à deux teasers signés Christophe Acker et à deux longues interviews des jeunes actrices. Le tout sera progressivement mis en ligne sur le site : www.prussianblue.fr

 

 

 

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14/05/2013

Kendra Morris paye son Pow !

Voici une découverte de taille qui nous évoque Adele, Joss Stone et bien d'autres ! 30 ans au compteur, deux EPs, This won’t hurt a bit (2007), Milk and cookies never lie (2008) et un album à sortir en France l'année prochaine, Banshee. Son dernier opus incite à la rêverie, il parle d’amour, de désespoir, un amalgame d’histoires à la fois imaginaire et propre à Kendra. L’américaine sublime ses textes empreint de métaphores avec une voix ambivalente… parfois retenue, tantôt lâchée.


Sur scène, elle fait preuve d’innovation. En guise d’ampli, elle utilise le Graal du Boom Bap, le Sharp GF-777 rendu célèbre par le Hip-Hop et notamment Run DMC. On découvre le premier extrait Pow, et on le réécoute d'emblée tellement c'est addictif !

www.kendramorris.fr

 

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10/05/2013

Midnight Juggernauts, back in the USSR ?

Bien allumés nos Australiens ! Après Dystopia et Crystal Axis, le groupe électro adoubé par Justice et Daft Punk dévoile un premier clip Ballad of the war machine absolument désopilant et qui cache une redoutable ballade futuriste, premier choc avant Uncanny Valley qui sort le 17 juin.

 

En faisant passer les instruments rock traditionnels (guitares, claviers, batterie) dans des samplers, pédales, patches et autres effets, ils pervertissent le familier et lui donnent une forme légèrement déviante. Des sons robotiques faits par des mains humaines, avec un vent troublant de bandes sons de films d’horreur, pour rester éternellement sur le fil du rasoir.    

 

 

 

 

Depuis sa formation à Melbourne en 2004, le groupe s’est frayé un chemin à part, s’imposant dans l’inconscient populaire et impopulaire, refusant de se restreindre aux limites des genres, de la convention ou de l’attente. En tournant le dos à une voie rapide mais étroite, les Midnight Juggernauts ont choisi l’internationale, emmenant leur pop psychédélique Soviet-sci-fi autour du monde. Uncanny Valley  raconte leur troisième long voyage dans les profondeurs, pilotant à nouveau leur kosmische musik pailletée au delà du cosmos connu et des genres inconnus.

 

sortie le 17 juin

Label Record Makers

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07/05/2013

Pour Smoking Smoking, venez habillés en noir et blanc

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Enfin une date de concert pour nos deux égéries de Smoking Smoking ! It’s all about love. Un piano, quatre mains, deux voix, un univers anachronique et fantasmé pour un premier album de onze ballades en noir et blanc. Belle équation pour Vanessa Filho et Audrey Ismaël à l’origine de ces audacieuses volutes de fumée où le cinéma de Cassavetes croise les chansons d’amour du King et où Nina Simone côtoie les héros de Western.

Mélodies envoûtantes, un brin hypnotiques mais jamais soporifiques, sonorités vintage enveloppées de douce mélancolie It’s all about love flirte parfois avec la sensualité de Kate Bush, parfois avec la suavité d’Elysan Fields.

le 4 juin au Café de la Danse

http://www.cafedeladanse.com/smoking-smoking/