Mariama et Moh! Kouyaté se retrouvent sur Darré

Un titre de Moh! Kouyaté et Mariama à découvrir ! Présenté comme un griot des temps modernes à la guitare bluesy, parfois rock, le style de Moh Kouyaté prend racine dans les rythmes traditionnels mandingues. En 2007, il arrive en France et découvre la scène afro-jazz de Paris. Plutôt doué, Moh Kouyaté se fait rapidement un nom dans le milieu. Il rencontres d’autres artistes et collabore avec des musiciens comme Ba Cissoko ou Fatoumata Diawara. Puis, il commence à tourner dans les cafés et les salles parisiennes.

De son côté, Mariama est imprégné des cultures de l’Allemagne, la Sierra-Leone, la Guinée, la France et la Norvège.

Les deux artistes donnent donc rendez-vous aux mélomanes ce 13 novembre, pour un concert au Pan Piper à Paris.

 

La belle Guinéenne du griot Mory Kanté

Mory Kanté revient avec La Guinéenne qui donne envie de prendre un billet d'avion

vous reconnaissez sûrement sa voix inimitable et le son de Yeké Yeké, que c'était bon avec le clip d'époque !

Ablaye Thiossane, la consécration d'un vétéran

Il n'est jamais trop tard pour démarrer sa carrière ! A 75 ans, il publie son premier album accompagné de musiciens de l'Orchestra Baobab Et ce n'est pas un débutant pourtant !

 

Ablaye Ndiaye Thiossane a acquis sa grande renommée en 1966 lors du premier Festival des Arts Nègres de Dakar où le président Léopold Sédar Senghor convia la diaspora noire. Ablaye Ndiaye y croisa Duke Ellington qui l’invita à chanter avec son orchestre de jazz. Il n’ira pas à ce rendez-vous prestigieux à cause d’une programmation artistique qui le retenait à l’autre bout de la ville : « Je ne savais pas que j’avais devant moi un grand nom du Jazz » déclara-t-il par la suite. Lors de ce festival, sa chanson  ‘Talene Lampe Yi’ fut retenue comme hymne radiophonique de l’évènement.

Ablaye Thiossane a exercé le métier de peintre-cartonnier à la manufacture des tapisseries de Thiès. Ses œuvres ont été reproduites en tapisseries célèbres dont l’une sera exposée au siège de l’ONU. « J’ai appris la peinture tout seul par amour du dessin, bien que mon père fût aussi peintre ; c’est en reproduisant les affiches des films programmés devant les salles de cinéma que j’ai appris à dessiner, l’Ecole des Arts n’a été qu’un complément de formation en arts plastiques ». Dans les années 70, l’une de ses œuvres était en tête des ventes au Sénégal.

 

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En concert en France

21 Juillet – Musique d’ici et d’ailleurs  / Chalons en champagne (51)

23 Juillet – FestaFrik Tartas (40)
29 Juillet – Africajarc / Cajarc (46)

26 Octobre Les Primeurs de Massy ( 91)

03 novembre – New Morning / Paris(75)

05 novembre : ville et musiques du monde / Le Cap Aulnay (93)

Ablaye Thiossane - EPK par Discograph

 

La culture réunionaise au Café de la Danse les 17/18/19 juin 2010

 

La Réunion au Café de la Danse

17 –18- 19 juin 2011

 

Dans le cadre de l’année de l’Outre-mer, l’Association Nakiyava organise l’opération La Réunion au Café de la danse.

Pensé comme une rencontre avec des artistes réunionnais de la nouvelle génération, dans différentes disciplines et formes, ce festival se déroulera les 17, 18 et 19 juin 2011… au Café de la Danse (Paris 11ème, Bastille).

Au programme : cinq comédiens, vingt-deux musiciens, un photographe, une cuisinière et un libraire. Autant d’invitations à la découverte de la culture réunionnaise, entre patrimoine et création.

Du 17 au 19 juin, vous passerez à partir de 18h30 des soirées inoubliables mêlant théâtre, slam, expo photo, dégustation et concerts avec Davy Sicard, Urbain Phileas et Christine Salem

Eric Legnini ou le piano jazz en liberté

The Vox, plus qu’un projet, est un trajet. Celui d’un apprenti-sorcier des claviers pour qui un disque est work in progress, le résultat de centaines d’heures de studio et de kilomètres de scènes, tout sauf une recette préconsumée mais bel et bien une galette composée de multiples touches, un singulier désir de musiques. C’est ainsi qu’il s’est construit une identité, qu’il bâtit aujourd’hui une thématique, qui fait le point et le pont entre toutes ses personnalités. Afro-beat, jazz soul, folk pop, tous ces univers cohabitent dans tous les titres, harmonieuse alchimie d’un mélange subtil que seul sur un mince fil Moogoo, l’autre facette d’Eric Legnini, son indispensable double, pouvait aboutir dans le laboratoire qu’est le studio de ses pensées nocturnes. Pas de doute, cet album rassemble le pluriel de ses suggestifs, une marque de fabrique qui ne ressemble qu’à lui, Eric Legnini. Ni revivaliste, ni avant-gardiste, juste raccord avec son horloge interne. Une heure au présent de son subjectif, des sonorités seventies mixées à l’actualité.

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